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ville2casablanca.on.ma savoir tout ou presque sur la ville de casablanca

2 février 2011

casablanca visite guidée

Casablanca porte peu de rapport à la ville mythique de souks, les espions et le mystère oriental évoqué dans son nom par Hollywood.
indeccx

Mais cela ne doit pas dire ces fanfaronnades que la métropole blanche, brillante est sans beauté. La capitale commerciale du Maroc peut sembler toute la bousculade et enfoncer, mais il a plus en commun qu'il se voit attribuer le mérite d'avec ce temps langoureux, d'avant-guerre passé si avec mélancolie souvenu par Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. L'architecture élégante étaie la trace d'une ère plus gracieuse dans cette métropole brutalement bordée - et Casablanca en a l'abondance, des arcs de style néo-mauresques de son Quart Habous, des loisirs du 20ème siècle du 18ème siècle souk, aux bâtiments d'Art déco fanés plus authentiques de règle française. Aujourd'hui, le design les vies esthétiques sur dans tout des bâtiments d'assurance au Hassan II Mosquée, dont le minaret géant, le monde le plus grand, évoque des comparaisons avec la Tour Eiffel et la Statue de Liberté. Avec l'aide d'une carte - et idéalement un chauffeur pour naviguer sur un trajet logique par les quartiers significatifs pendant que vous vous cassez loin - il est possible de couvrir les bijoux architecturaux de Casablanca pendant un jour.

Un point de départ logique est l'Endroit des le Mers-sultan, qui divise le Liberté et des quartiers d'Alsace-Lorraine, les deux riches dans de vieux bâtiments parfaits dans les stades différents de négligence. De ceux entourant l'Endroit, le plus dramatique est le fer à repasser géométrique dont le rez-de-chaussée est maintenant à la maison au Café de Champions Elysees. Il y a plus de beauté curlicued dans le gâteau 1922 de mariage quelques pas le long du fait de se repentir des le Mers-sultan, qui loge maintenant un mélange d'appartements et de bureaux médicaux. Après cette émeute de façades distinctives - et ceux-là qui doublent le Boulevard de Paris et sa continuation, l'Avenue Lalla Yacout, l'Endroit Mohammed V, créé par le Français au cours des années 1920 comme un haut lieu touristique pour leur nouvelle ville vaste, semblent un dérivé de tad. Le signe de tête d'arcs de bâtiment de cour de justice vers l'héritage arabe du Maroc, le bois sombre de l'Hôtel de ville vers l'Andalucian, mais au moins le visage de tour d'horloge et le fait d'exposer en détail géométrique de l'Hôtel des postes est deco pur. Il s'améliore seulement comme vous sautillez à l'avenue proche Houcine bnou Ali, dont les habitants mettaient le ritz tout au long des années 20 et des années 30. Le Palais Lyautey retient la grandeur de période au niveau du sol; vous pouvez imaginer Fred et Gingembre faisant trébucher en bas l'escalier en-laiton-balustraded et du vestibule de marbre.

Mais le meilleur escalier deco dans Casablanca doit être le fer forgé s'étonnent de 27 avenue bnou Ali, maintenant à la maison de Thema de magasin de design Maison. C'est le propriétaire a élevé ses enfants dans ce manoir de 1940 magnifique avant le fait de le transformer dans une vitrine pour son design d'étoffe et mange toujours le déjeuner au restaurant tout aussi magnifique Rouget de l'Isle, juste un pas à travers la route en bas l'allée du même nom. Il y a des rues entières de maisons de campagne blanches-de-sucre semblables en se souvenant “les annees 30” dans Casablanca, notamment ceux du quartier Parc du Boulevard Moulay Youssef. Une des maisons les plus parfaites, construites pour la famille Toledano espagnole par Diego Jimenez en 1933, a été rénovée d'une épave totale et réinventée comme la Maison de campagne des les Arts, en servant de tremplin à la peinture contemporaine et à la sculpture de partout dans le monde. Mais c'est les gratte-ciel de Casa qui reçoivent la plupart d'attention - tous les deux le vieux, comme la Tour de Liberté, une des premières maisons divisées en appartements dans une toures de l'Afrique et du nouveau - notamment le Hassan II mosquée, le site le plus d'ouest du monde de vénération Islamique et du deuxième en valeur. Conçu par l'architecte français Michael Pinceau vers la fin des années 1980 et inauguré en 1993, il se souvient que d'autre grand site global de vénération, Rue. Peter, dans l'échelle et la magnificence et ne devrait pas être manqué.

Avec son minaret de 210 mètres, c'est devenu une icône pour l'horizon de la ville. Aussi ne pas être manqué - bien qu'il soit à la fin opposée du spectre du point de vue de l'échelle - est le Cinéma Rialto sur le fait de se repentir Mohammed Qorri. Le site, sur une jonction de route de centre ville occupée, peut être trop encombré et périlleux pour loger un tapis rouge, mais vous pouvez toujours imaginer Errol Flynn et Ava Gardner balayant l'escalier à un festival de cinéma imaginaire d'avant-guerre. Après que tous ces bâtiments blancs pour lesquels Casablanca est appelé, l'écarlate enjoué, aqua et le fait d'exposer en détail jaune de crème anglaise sont une joie rebelle, une toile de fond allante pour les performances musicales de Josephine Baker et d'Edith Piaf, que tous les deux ont jouée ici. Il serait grand de trouver des bars de design et des clubs dans certains des édifices plus fantasques, mais Casa n'est pas remarquable pour sa vie des noctambules et il y a plus d'intérêt pour nouveau construisent que la restauration. Cependant, il y a toujours le Café de Meule, ouvert en 2004 par un ancien diplomate américain, qui a vraiment l'intérieur des années 1930 fidèlement restitué, le bar de piano et les visiteurs d'ambiance de port sont venus pour s'attendre de Casablanca.

Après le fait de se régaler vos yeux sur le film authentique noir l'architecture, vous pouvez mouillé votre sifflet ici et publier une demande “de Le jouer de nouveau, Sam!” avant le fait de poser votre tête sur un oreiller dans ce qui a considéré les plus parfaits d'hôtels d'art déco de la ville, le Transatlantique

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28 janvier 2011

casablanca et boite de nuit

Tendance. Fêtards et clubbers


Depuis quelques années, une “culture club” se

 

développe au Maroc. Des DJ's célèbres défilent à Marrakech, les boîtes de nuit casablancaises emboîtent le pas, la secte des agités des dance floors grossit. Tour d'horizon des insomniaques du samedi soir.

phénomène clubber en invitant des DJ's de renom. David Guetta y était le 30 décembre dernier et il a fait le plein” explique Anouar, 26 ans, fourré en boîte tous les week-ends. “Il y a une culture club au Maroc, mais nulle part où l'exprimer puisqu'il n'y a pas de lieux pour ça à Casablanca. Pour preuve, Tania Pascoal aux platines, qui n'est pas aussi célèbre qu'un David Guetta, a fait le plein récemment au Zooma( boîte de nuit casablancaise)”, explique Rizq Housni, propriétaire du site marocparty.com, portail d'événementiel qui annonce les soirées à venir. “Ce n'est pas encore Londres, Ibiza ou Paris (ça se saurait) mais au Maroc on peut désormais danser sur de la bonne house”, ajoute Anouar. Ce clubber invétéré fait comme tous ses congénères, des allers- retours fréquents entre Casablanca et Marrakech pour danser au Théâtro, au White Room et au Pacha. C'est fatiguant, stressant, mais que ne ferait un clubber pour clubber : “On descend le vendredi à Marrakech. On remonte à Casa le samedi pour bosser le matin. On reprend la route pour Marrakech l'après midi. On sort samedi soir et dimanche soir. Retour au boulot le lundi matin”, raconte Moncef. Ces déplacements en clique étaient le lot de tous les clubbers casablancais avant l'ouverture récente, et consécutive, du Pulp et du Zooma sur la côte casablancaise qui était “devenue un désert pour les amateurs de house depuis la fermeture de La Réserve et du Candy Bar” explique Amine, autre Casablancais la semaine, Marrakchi le week-end. Et quand un lieu ouvre, c'est qu'il y a une demande. Le Zooma était anciennement le Crystal Palace, un cabaret oriental transformé en boîte de nuit alors que la tendance actuelle est plutôt à l'oriental chic dans le monde de la nuit.

Et la musique dans tout ça ?
Le Pulp et le Zooma sont devenus les deux oasis sonores où, au soleil couchant, se retrouvent les assoiffés de house. Chaque week-end, ces deux lieux ne désemplissent pas et, signe de succès pour une boîte, il y a plus de monde à l'extérieur qu'à l'intérieur. Les moins de 20 ans sont priés d'aller se coucher au Pulp, la cible ici, c'est le clubber dans la bonne vingtaine, qui fuit les boîtes de teenagers, les resto-pubs de musique-live et les boîtes d'oriental. “On y a fait attention à l'aménagement intérieur, à la qualité du son et des DJ's”, explique Hamza Alami, l'un des propriétaires du portail maroceve.com, spécialisé dans l'événementiel nocturne. Son site compte plus de 13 000 membres qui se tiennent informés des soirées et DJ's à venir. “La culture club se développe grâce à des sites identiques qui proposent des forums de discussions sur les DJ's”, analyse, pour sa part, Amine Lahlou, nightclubber de 22 ans qui a commencé à sortir à 16 ans. Si les forums de maroceve sont très fréquentés, les 13.000 membres que compte le site ne doivent pas se tromper sur l'ampleur du phénomène, ni sa forme. “Le vrai clubbing au Maroc ne se fait pas en boîte, mais dans des soirées privées” explique un habitué de la vie nocturne casablancaise. “Une clique, un DJ étranger à 2000 euros, c'est pas grand-chose pour quelqu'un qui a les moyens de sortir tous les soirs et de claquer 5000 ou 10.000 DH sans même y réfléchir”, ajoute-t-il. La secte clubber grossit en soirées privées, loin des yeux scrutateurs, mais reste un petit monde qui n'a pas forcément les mêmes motivations, ni les mêmes attentes quand elle sort en boîte : “Un clubber, c'est celui qui est capable de se taper 500 km pour voir un DJ, pas celui qui pose trois bouteilles sur la table” selon Alex, photographe pour le portail maroceve.com, qui regrette la méconnaissance musicale et le côté m'as-tu- vu qui tient lieu et place de philosophie clubbing au Maroc. “Au bout de deux heures de house et deep house, ils se lassent et demandent des choses plus commerciales”, raconte un animateur d'établissement nocturne qui a tenté de changer l'ambiance lounge de son restaurant-pub. “Sur les 4000 personnes qui sortent à Casablanca, 300 à peine s'y connaissent en matière de musique et sortent pour ça”, surenchérit Mehdi Damir, gérant du Pulp. Le constat est le même pour Hamza Alami de maroceve.com : “Le DJ Paul Oakenfold était au Pacha dernièrement. C'est une pointure qui fait danser des stades entiers, mais ce jour-là la majorité est restée assise”, regrette t-il. Mais alors qui remplit les clubs marrakchis et casablancais ?

Clubbers ou fêtards friqués ?
“Ce sont des fêtards, mais pas des clubbers. Ils sont davantage là pour être vus parce que le clubbbing est à la mode”, déclare un gérant de boîte de nuit. “Un type m'a demandé de le photographier avec son magnum de champagne”, raconte Rizq Housni de marocparty.com qui affiche les photos des membres les plus show off, tout comme le portail maroceve.com. “Etre vus”, mais d'un tout petit nombre. “Tout le monde se connaît dans le milieu. Il y a 4 ou 5 groupes d'une quarantaine de personnes qui sortent beaucoup. Ce sont eux que l'on voit toujours aux tables VIP”, rajoute Rizq Housni. Une “locomotive”, surnom donné à ces leaders, traîne derrière elle un grand nombre de wagons, parasites, diront les mauvaises langues. “Ils sortent à 15 filles et garçons, il y a un ou deux leaders qui paient pour tout le monde. La faune qui traîne derrière ces leaders est addicted au groupe car on leur offre tout, mais pas à l'endroit en lui-même”, explique un connaisseur du mode de fonctionnement des oiseaux de nuit. “Il y a quelques années, je payais pour tout le monde. Je me suis calmé depuis et désormais on se cotise à 2 ou 3 pour régler la note”, dit Youssef, un night-clubber bien connu dans le milieu. Une accalmie très relative, puisque ce dernier dépense en moyenne entre 10 et 15 000 DH par soirée. Beau samedi noir en perspective...


28 janvier 2011

casablanca franchisese

ECONOMIE – Le marché des franchises en pleine expansion

Mc Donald, Pizza Hut, Pomme de Pain, Monsieur Brochette… Depuis les années 90, les franchises de la restauration rapide sont de plus en plus présentes au Maroc. Ouvrir une franchise est-elle la recette du succès ?

Un peu d’histoire

C’est après la seconde guerre mondiale que les franchises se sont développées aux Etats-Unis, permettant aux vétérans sans emploi d’exercer une activité indépendante. Mais le véritable succès de ce système débuta dans les années 70 aux USA comme en France. En quête de nouveaux marchés, les enseignes internationales découvrirent vite le potentiel commercial du Maroc. Avec son système libéral favorable à l’investissement, sa proximité géographique et culturelle avec l’Europe, et sa main d’œuvre jeune et flexible, le Royaume avait tout pour attirer les investisseurs. C'est donc en 1992 que les rues de Casablanca accueillirent le premier restaurant Pizza Hut du Maroc. Cet évènement fut très symbolique à cette époque de tension entre le monde arabe et les Etats-Unis. Quelques mois plus tard, Mac Donald s’installa également à Casa et séduit rapidement les habitants. Tout d’abord une occasion de sortir au restaurant en famille, la plus célèbre des franchises américaines est devenue synonyme de restauration rapide, surtout pour la jeunesse marocaine.

Un marché parfois difficile
Ces dernières années, on a vu des nombreuses franchises fraichement ouvertes au Maroc mettre la clé sous la porte. Certaines avaient pourtant conquis depuis longtemps les marchés américains et européens, mais n’étaient visiblement pas adaptées à la demande locale. Parmi les exemples les plus parlants, on retrouve Dunkin Donuts, une franchise américaine de vente de beignets de tous types. Mais les franchisés n’avaient pas anticipé que les Marocains ne voudraient pas mettre 8Dhs dans un beignet industriel quand ils peuvent acheter une demi douzaine de "chfenges" artisanaux pour le même prix. Il en est de même pour Subway, bien connu des Français. Si le concept de composer soit même son sandwich a séduit Américains et Européens, le restaurant ouvert boulevard Zerktouni n’a pas attiré foule. Les exigences des consommateurs marocains sont donc bien différentes de celles auxquelles les franchises sont habituées…

Un plan bien ficelé, et c’est le succès assuré !
Mais même si certaines franchises ont connu des échecs au Maroc, le secteur se porte bien de manière générale. Le ministère de l’Industrie et du Commerce a d’ailleurs publié sur son site internet un rapport selon lequel la franchise dans la restauration connait un franc succès. Toujours selon ce rapport, 7% des franchises au Maroc sont des restaurants, ce qui les place en 2ème position derrière l’habillement (33% du secteur) et à égalité avec l’ameublement. Si certaines franchises marchent mieux que d’autres, c’est parce que leur organisation est parfaitement pensée. Selon Narjiss Lamghrabbar, responsable marketing de Mawarid Maroc (Pizza Hut, PHD et Kanoon), un bon produit ne suffit pas à faire fonctionner une franchise. Il faut que l’organisation qui gère les restaurants soit bien structurée, et il est important que le franchiseur soutienne ses franchisés. De plus, une stratégie marketing finement menée sur le long terme et une politique de prix en adéquation avec la cible est bien évidemment nécessaire. Enfin, elle explique que les salariés doivent se sentir valorisés, notamment grâce à des formations.
Certaines franchises marocaines semblent avoir intégré ces clés vers le succès dès le début des années 2000. Impossible que vous n’ayez pas entendu parler de Monsieur Brochette, Aladin, ou plus récemment la Grillardière. Ces trois franchises ont su imposer leur modèle à travers le Royaume, malgré des départs parfois modestes. On pense notamment à Haj Boulagjam, surnommé Monsieur Brochette par les membres du Club Alpin Français pour qui il préparait de savoureux sandwichs avant d’ouvrir son premier restaurant. La chaîne compte maintenant cinq enseignes. Un succès digne d’une histoire américaine… Les franchises seraient-elles un moyen d’accéder au Moroccan Dream ?

28 janvier 2011

Colonie blanche

 CASABLANCA CASABLANCA Colonie blanche

Une promenade autour de Casablanca démontrera clairement que Casablanca était l'endroit que les autorités coloniales françaises ont prêté la plupart d'attention. La promenade d'Une autour de Casablanca démontrent clairement que Casablanca un été le le lieu que les autorités coloniales françaises ont le plus d'attention. Et argent. Et de l'argent. Le vieux centre colonial de Casablanca n'est pas petit et d'une manière qui fait du bien beau. Le vieux centrent de colonial Casablanca n'est pas la beauté menue et rafraîchissante. Les bâtiments ont d'une version française d'architecture Arabo-Andalucian, blanche avec les lignes molles et souvent l'abondance de détails. Les bâtiments sont d'une la version française de l'architecture arabo-andalouse, blanc avec des lignes douces et souvent beaucoup de détails.


Casablanca, Maroc Casablanca, Maroc Casablanca, Maroc

Les coins distribuent vraiment souvent les meilleurs exemples et heureusement, les bâtiments sont la plupart du temps dans le très bon état. Les coins ne donnent souvent les reins des meilleurs exemples et heureusement, les bâtiments sont la plupart du travaillent comme intérimaire demi-cadratin très bon état. La région pour explorer est au sud de l'Avenue des Force Armées Royales, mais de l'intérêt spécial est l'Endroit des les Nations Unies, qui a les plus grandes structures. La divisent l'évaluation d'explorateur à en zones au sud de l'avenue des Force Armées Royales, mais d'un intérêt particulier l'évaluation la Placent des Nations des Unies, qui un les plus les structures grandes. Les bâtiments est et sud de plus sont moins impressionnants, mais tout aussi intéressants. bâtiments Plus à l'est et le sud sont moins impressionnants, mais vantent les mérites d'aussi intéressants.

Casablanca, Maroc Casablanca, Maroc Casablanca, Maroc
18 décembre 2010

video casablanca

Gad Elmaleh a Casablanca Pt 1/2

Gad Elmaleh a Casablanca pt 2/2

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6 décembre 2010

A Casablanca, le tramway se fraie un chemin !

       

 

A Casablanca, le tramway se fraie un chemin !

      

                 

     

Tant attendu à Casablanca, le tramway, ambitieux projet de transport en commun, commence à se concrétiser depuis les premiers coups de pioches donnés le 11 mai 2009 dans certaines artères de la métropole.

Ces coups de pioches ont donné lieu tout de même à un premier chantier de 4 km de travaux de déviation des réseaux d'eau potable, d'électricité, d'assainissement, d'éclairage public et de télécommunication ainsi que de fibres optiques et de réseaux spéciaux.

Ces travaux réalisés sur les boulevards d'Okba et de Mecqua, et déjà achevés, donnent une idée sur la cadence des réalisations. Il s'agit-là d'une phase capitale pour la mise en ?uvre de cette 1ère ligne de 30 Km linéaires, puisqu'elle va permettre, par la suite de libérer l'espace souterrain nécessaire à la pose de la plateforme et d'autres équipements du tramway, et donner libre accès aux opérateurs des réseaux pour leur maintenance et leur réparation, lors de la phase d'exploitation.

+Sensibilisation des riverains de chantier+.

Six mois après le démarrage du chantier, c'était fin octobre 2009, que les travaux de déviation ont eu une grande poussée avec l'ouverture de 4 fronts totalisant 11 km sur les artères Abdelmoumen, Achouhada, Oudaya, Ba Hmad et Panoramique, sans que les riverains de ces artères ne soient surpris ou gênés par ces travaux car, justement, l'information de proximité a bel et bien fonctionné.

En effet, le maître d'ouvrage du projet, "Casa-Transport", a opté dès le départ pour une communication de proximité sur la nature des travaux engagés par le biais d'affichage et de distribution de mailings à l'intention des riverains, tout en mettant en place des plans de circulation adéquats en concertation avec les différentes instances concernées.

De ce fait, les riverains et usagers des artères concernées par la suite du chantier ne seront non plus pas surpris quand fin décembre 2009 les travaux vont prendre leur vitesse de croisière, avec l'ouverture des autres fronts du tracé, totalisant les 15 derniers km de cette ligne. Travaux qui devraient être achevés fin mars 2010, assurent les responsables de "Casa-Transport", une société publique de droit privé, créée en mars 2009.

C'est dire que l'époque d'hésitation est déjà révolue et que l'objectif décembre 2012, fixé pour la mise en circulation de cette 1ère ligne, sera ainsi atteint. Cette ligne reliera, dans le cadre du futur réseau global de transport en commun, les grands quartiers de l'agglomération, à savoir, Sidi Moumen, Moulay Rachid, Hay Mohammadi, Roches Noires, Centre-Ville, Derb Ghallef, Beauséjour, Hay Hassani, Sidi Maarouf et le Campus universitaire.

+Un réseau global pour le transport urbain +.

Ledit réseau global, qui devrait comprendre 3 autres lignes de tramway, une ligne de Réseau Express Régional (RER) et le Bus Rapid Transit (BRT), projette de remplir sa facture de propreté, de confort, de performance et de non-pollution, à même d'encourager nombre d'automobilistes à abandonner leurs voitures au garage, soutient-on.

Fait marquant, les usagers des transports en commun à Casablanca étaient 13 pc en 2004, devraient être seulement de 11 pc en 2019, selon la tendance, au profit des moyens de transport personnels, ou de 21 pc en 2019 si le volontarisme l'emporte dans le cadre du "plan de déplacements urbain". Dans cette perspective, le projet global se doit d'être attrayant et de tenir ses promesses.

Le transport en commun reste une composante essentielle pour réussir le programme de développement de cette grande métropole du Maroc, qu'est Casablanca, et constitue un souci quotidien des Casablancais d'où l'intérêt de cette 1ère ligne du projet de tramway d'une capacité estimée à 250 000 usagers par jour, estimation plausible si l'on sait que le nombre de rames est de 37, de 65 m de longueur.

Autres éléments intéressant l'usager : la durée de service en semaine de 5h00 à minuit et le week-end de 5h00 à 1h00 du matin, la fréquence de passage de 4 mn en heures de pointe, les stations d'arrêts au nombre de 49 et la durée du trajet de 50 mn de terminus à terminus, partant de Sidi Moumen pour se scinder ensuite à Derb Ghallef en deux voies, l'une menant en terminus au quartier des facultés (route d'El Jadida) et l'autre à Hay Hassani.

En partant de Sidi Moumen, selon le tracé, le tram se dirige vers Hay Mohammadi, passe par le quartier de la gare (Casablanca-Voyageurs), puis les quartiers Arts Deco et Derb Ghallef avant de bifurquer en deux voies, la première desservira Bachkou, Sidi Maarouf et quartier des facultés et la seconde Casablanca-Anfa et Hay Hassani.

A "Casa-Transport", on insiste sur l'apport du projet au niveau de l'aménagement urbain, en ce sens qu'il occasionnera 90 hectares d'aménagement, 30 km de traitement de façade à façade, un corridor vert le long du tracé et une requalification du centre historique de la métropole, s'intégrant ainsi parfaitement dans le nouveau schéma directeur d'aménagement urbain de Casablanca.

Autre apport du projet est l'amélioration de l'environnement, les études ayant montré que le tramway est 15 fois moins polluant que la voiture.

Les promoteurs du projet misent, à ce propos, sur un recul de la pollution atmosphérique, faisant remarquer que c'est un mode de transport peu bruyant et écologique utilisant une énergie propre et devant occasionner, par ailleurs, la réalisation d'un corridor vert le long du tracé.

3 octobre 2010

Casa ma "vieille" ville…

Casa ma "vieille" ville…

Medina rue intérieure

Le Casablanca du XXe siècle est décrit comme une ville moderne, avant-gardiste, véritable laboratoire expérimental d’architecture et d’urbanisme, exemple pour de nombreuses métropoles européennes. Ce Casablanca-là, est né suite à l’évolution qu’a connue la ville d’alors, celle que l’on appelle la Médina et qu’aujourd’hui nous affublons souvent du qualificatif "ancienne".

L’ancienne médina de Casablanca est unique: elle ne ressemble à aucune autre.  C’est une version moderne de la classique médina marocaine. Elle a des  particularités architecturales et urbanistiques spécifiques qui lui ont été imprimées par les nombreuses communautés qui y ont vécu.

De nos jours, la vieille ville compte près de 11 000 familles, soit environ 47 000 habitants qui logent dans des bâtiments datant à 80% de plus de 50 ans. Ces chiffres sont plus bas que ceux d’il y a dix ans mais l’état des structures et infrastructures de la ville est dans un état de délabrement flagrant. L’insécurité menace chaque famille et des maisons s’effondrent quand le vent souffle plus fort que d’habitude ou que la pluie est plus abondante que de coutume.

Situation en totale contradiction avec le gigantesque et ambitieux projet de la marina qui est en cours à proximité et qui devrait être livré en 2011, contradiction à tous les niveaux et notamment budgétaire avec une enveloppe allouée de cinq milliards de dirhams. Ayant pour vocation d’être le "Manhattan de Casablanca", ce projet est un complexe immobilier, hôtelier, touristique, administratif et commercial associé à un port de plaisance, qui serait censé "embellir" et moderniser la côte casablancaise mais qui risque de jurer avec les caractéristiques architecturaux environnants.

Casamemoire a été sollicitée récemment pour travailler sur un projet de réhabilitation de l’ancienne médina de Casablanca, piloté par la Préfecture de Casa-Anfa et mené en partenariat avec de nombreux autres acteurs associatifs ou non (AUC, UACP, Lydec, la protection civile, le département de l’environnement, des entreprises, des sociologues et historiens et architectes). Ce projet se déroulera en trois étapes : diagnostic, orientation et plan d’action.

Les participants sont organisés en comités de pilotage qui étudient les différents aspects du projet :
* Le développement social de proximité
* La réhabilitation urbaine et l’infrastructure
* La requalification des commerces et services
* La mise à niveau touristiques et culturelle

Le projet de réhabilitation est un beau projet pour une médina pas comme les autres. Bien mené, il permettra sans doute de redorer le blason de la vieille ville casablancaise et de restaurer des bâtiments à caractère historique et patrimonial, ludiques, administratifs ou religieux (la poste chérifienne, Sidi Bousmara, Sidi Allal Karouani, Zaouiat Darkaouia, cinéma Impérial, la banque d’Etat du Maroc, Hôtel Central, Synagogue Ettedguy, Synagogue Souiriine, la porte de la marine, les fortifications de la Sqala, le jardin Zerktouni, la résidence Lyautey, le consulat d’Espagne, l’Eglise espagnole,  le consulat d’Angleterre, le consulat d’Allemagne, l’ancien casino d’Anfa, Dar El Filali, Hammam Dar El Makhzen). .

Espérons qu’il ne tombe pas en ruine  et qu’il apporte des solutions concrètes.  A suivre...

3 octobre 2010

Les styles d'architecture a casablanca

Néoclassique
Langage architectural du XIXe siècle européen pour quelques immeubles du centre ville où l’on peut observer colonnes, balcons, loggias, ornés de décorations florales, de guirlandes, de médaillons sculptés.

Néo-mauresque
Sont concernés principalement les premiers bâtiments importants construits en dehors de l'ancienne médina, plutôt inspirés des réalisations d'Afrique du Nord au XIXe siècle (Algérie, Tunisie), comme l'hôtel Excelsior, caractérisés par l'emploi des arcs brisés, des azulejos (carreaux de faïence) sur les façades, des pergolas, des tuiles vertes sur les toits et les auvents.

Les bâtiments publics
Ils reprennent les éléments décoratifs de l'architecture traditionnelle : arcades, frises et panneaux recouvert de zelliges, tuiles vertes, plafond en bois, pierre sculptée. Cependant ils se détachent nettement du style néo-mauresque par la simplicité de leurs volumes et leur conception rationnelle. Ce style sera recommandé par les autorités du Protectorat, en particulier, par le Général Lyautey très attaché à "la sobriété extérieure" des constructions locales.

 

Immeuble Assayag 1930 Marius Boyer

 


Style Art Déco : exposition des Arts Décoratifs de 1925

Les formes et le décor deviennent géométriques, stylisés, débarrassés des ordonnances classiques et des ornementations réalistes. Les zelliges seront utilisés à la place des carreaux de céramique qui recouvrent les bâtiments de la même époque en Europe.

Style fonctionnaliste
Le mouvement moderne issu du cubisme connu à travers le constructivisme en URSS, puis le BAUHAUS en Allemagne, est présent à Casablanca dès les années 20. Ces bâtiments aux façades dépouillées façonneront l'image moderne de la ville.

 

Casablanca et l'architecture

 

Pourquoi faut-il établir d’urgence un plan national de sauvegarde du patrimoine architectural de Casablanca ? Casablanca s’est construite entre 1910 et 1960 (1). Cette cité, pensée dès le départ comme une métropole, constitue aujourd’hui, de facto, "un livre ouvert où l’on peut lire toute l’histoire de l’architecture de la première moitié du XXème siècle" (2).

Autrement dit, Casablanca offre aux yeux de ceux qui veulent bien la regarder une grande concentration des styles et courants architecturaux internationaux en vigueur durant cette période. La plus grande concentration au monde, de l’avis des historiens de l’architecture. Certes, on construisait, à la même époque et de la même manière, ailleurs. Il existe bien des bâtiments, des quartiers même parfois, Arts-déco ou Bauhaus, à Vienne, Bruxelles ou Chicago. Mais pas une métropole entière à l’instar de Casablanca. C’est une question d’échelle.
De quels styles s’agit-il ? Que trouve-t-on à Casablanca ?

Un brin de néomauresque qui nous est venu d’Algérie via les premiers occupants, des militaires évidemment. On peut citer les bâtiments de la Marine Royale, face au port. Les anciens abattoirs de la ville - aujourd’hui vides, dans l’attente d’une prochaine conversion -sont également un bel exemple représentatif de ce néomauresque au charme un tantinet anecdotique.
Un certain nombre d’immeubles - et quelques villas rescapées - sont de type dit néoclassique. Appelé aussi "pâtisserie Louis XVI", en raison de sa surcharge décorative (colonnes doriques à l’entrée et aux balcons, lourdes grappes de raisin et autres masques de Bacchus sculptés en façade, …), il nous est venu tout droit de la Côte d’Azur et autre Riviera italienne (Cannes, Biarritz, …). On en voit pas mal d’exemples boulevard Mohammed V.

Développé avec bonheur dès les années 20, c’est évidemment le style Arts-déco qui va le mieux marquer la capitale économique du royaume. Façades blanches et volumes cubistes (terrasses, bow-windows, angles travaillés) jouent savamment de l’ombre et de la lumière. Le décor s’épure et se géométrise. La rencontre entre l’Arts-déco et les arts décoratifs traditionnels marocains va donner naissance à de purs chefs-d’œuvre, notamment les bâtiments administratifs comme l’actuelle Wilaya, le Tribunal, la Poste, Bank Al Maghrib, le Consulat de France, etc. A propos de ces derniers bâtiments, on parle également de style "officiel", celui qu’a voulu le très esthète Lyautey.

Bientôt, dès les années 30, une architecture fonctionnaliste, épurée à l’extrême, déploiera ses blancs vaisseaux - on parle d’architecture paquebot - sur la ville. L’immeuble Liberté (le fameux 17 étages) en est un des exemples les plus élégants, les plus frappants. Silhouettes élancées, façades en courbes, minimalisme, fonctionnalisme, perspectives audacieuses, impression d’espace, jeux de lumière, …, impriment à la ville ce côté "Amérique" qui n’a pas manqué frapper les esprits contemporains.

Les années 50 et 60 donneront encore à Casablanca une certaine architecture brutaliste, à relents organiques, glorifiant le béton. Voir la Villa Zevaco, au bout du boulevard d’Anfa.
Il faut bien admettre qu’à partir des années 70, à de rares exceptions près, on ne construit plus très bien à Casablanca. Des savoir-faire se sont perdus. La créativité n’est plus au rendez-vous. Nous ne sommes plus dans le coup. Espérons que les nouvelles générations renoueront avec le formidable élan architectural qui a longtemps été la force de Casablanca - élan décrit en long et en large par les revues d’architecture internationales de l’époque.
En attendant, sauvons le patrimoine architectural de Casablanca. La sonnette d’alarme a été maintes fois tirée: la négligence et la spéculation vont rapidement venir à bout de cet incroyable capital que possède notre cité.

Rendre aux Casablancais et aux millions d’étrangers qui transitent par Casa - la ville totalise le plus fort taux de nuitées du pays, on l’oublie, loin devant Marrakech - un centre ville blanc avec des façades ravalées, des trottoirs débarrassés, des commerces coquets, une circulation fluide, …, suffirait pour placer notre métropole parmi les dix ou vingt plus belles villes du monde. Nous sommes beaucoup à en être persuadés. La tâche n’est certes pas aisée. Elle n’est pas insurmontable. L’Agence urbaine de Casablanca, la Ville et le ministère de la Culture doivent en faire une priorité. Il y a urgence. Le jeu en vaut la chandelle.

30 août 2010

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29 janvier 2007

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